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Voici quelques points saillants et réalisations de la dernière année à l’École interdisciplinaire des sciences de la santé.

• Plusieurs membres du corps professoral ont reçu des subventions de recherche, y compris de nombreux financements des trois organismes, ce qui témoigne du dynamisme de l’École.

• La professeure Angel Foster a reçu la Chaire de recherche de l’Université sur l’avortement par médicaments. Å’uvrant à l’amélioration de l’accès sécuritaire et abordable aux soins d’avortement au Canada et à l’international, elle a mené des projets de recherche sur la santé, les droits et la justice en matière de reproduction dans diverses régions du monde, y compris en Asie, en Europe, au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, en Amérique du Nord et en Afrique subsaharienne.

• La professeure Lara Pilutti a reçu un prix d’excellence en éducation de l’Université d’Ottawa. De plus, elle a élaboré un programme de recherche de renommée internationale axé sur l’étude des bienfaits de l’exercice physique pour les personnes atteintes de sclérose en plaques. La professeure a enseigné à plus de 2 200 étudiantes et étudiants de premier cycle et aux études supérieures. Son enseignement et son mentorat sont axés sur l’apprentissage par l’application pratique dans des contextes réels.

• La Journée de la recherche s’est déroulée sur le campus Lees le 7 avril 2025. Ce rendez-vous annuel a mis en valeur la qualité exceptionnelle et particulièrement interdisciplinaire des travaux de recherche de l’École. Des étudiantes et étudiants de 4e année du premier cycle et des cycles supérieurs ainsi que des membres du corps professoral de l’École ont présenté leur recherche oralement et sous forme d’affiches dans une ambiance amicale et professionnelle. Félicitations à toutes les personnes qui ont reçu leur prix des mains de la doyenne Lucie Thibault.

• Au cours des derniers mois, l’École a préparé son déménagement vers ses nouveaux locaux du pavillon Montpetit, où elle s’installera dès la rentrée de septembre.

L’École des sciences de l’activité physique continue de se distinguer parmi l’élite universitaire, se classant une fois de plus parmi les sept meilleures écoles dans le domaine des sciences liées aux sports au Canada. Elle a par ailleurs atteint une impressionnante 34e place au classement mondial QS. Ce positionnement témoigne de l’excellence de notre enseignement, de notre recherche et de notre rayonnement international.

• Trois nouveaux postes stratégiques en enseignement et en recherche ont été obtenus cette année : deux en gestion du sport et une prestigieuse chaire de recherche du Canada (CRC) de niveau 1 sur les aspects neuromusculosquelettiques du mouvement. Ces ajouts renforcent notre position de leader dans le domaine.

• L’École a également démontré un leadership de premier plan en matière de dialogue et de réflexion stratégique en organisant une retraite de deux jours réunissant des membres du corps professoral et du personnel administratif, des membres du corps professoral nommés à long terme et des coordonnatrices et coordonnateur de laboratoires. Cette rencontre a permis de discuter de sujets clés tels que la régulation émotionnelle, la neurodiversité chez nos étudiantes et étudiants et les besoins en accommodements, l’impact de l’intelligence artificielle générative et ses effets dans la sphère universitaire, et l’avenir de l’École notamment en ce qui a trait à nos programmes aux cycles supérieurs.

• Nous avons accueilli notre première cohorte dans les nouveaux programmes coop, option désormais offerte dans l’ensemble de nos programmes de premier cycle. Cette initiative renforce notre engagement à offrir une formation pratique, en phase avec les besoins du marché du travail.

• Nos efforts soutenus pour la promotion des programmes en français, notamment en sciences sociales, ont permis une hausse significative du nombre d’étudiantes et étudiants francophones inscrits.

• Les fonds de maillage pour la promotion des programmes en français ont également permis d’accueillir plusieurs écoles secondaires francophones sur notre campus et dans nos laboratoires. Les élèves ont pu découvrir les sciences de l’activité physique et envisager des carrières dans ce domaine passionnant.

Depuis plusieurs années, l’École des sciences de la nutrition s’engage activement à offrir un environnement d’apprentissage et de recherche à la fois performant, inclusif et innovant.

Parmi les réalisations les plus marquantes, la révision de nos programmes a permis de mieux répondre aux besoins évolutifs de la population étudiante ainsi qu’aux exigences du domaine de la nutrition. Nous avons notamment mis à jour le baccalauréat ès sciences spécialisé en sciences des aliments et le diplôme d’études supérieures Politique alimentaire et affaires réglementaires.

Cette progression sur le plan académique s’accompagne d’une plus grande stabilité du personnel, favorisant la continuité, la rétention des expertises et un environnement de travail stimulant. Nous avons également adopté une approche d’optimisation des tâches visant à concentrer nos efforts sur les projets réalisables, ce qui améliore notre efficacité et soutient le bien-être de notre équipe. Cette démarche nous permet d’avancer de manière structurée et durable, tout en protégeant les ressources humaines précieuses que nous formons.

La reconnaissance des talents internes est au cœur de notre fonctionnement. Nous nous efforçons de placer les bonnes personnes aux bons endroits, en valorisant les forces individuelles et l’initiative, ce qui illustre parfaitement notre volonté de mettre en lumière les compétences de chaque personne au bénéfice de l’ensemble de l’École et de la communauté.

Dans un souci constant d’amélioration de l’organisation et de la transparence, nous avons également mis en place de nouvelles procédures, dont celle pour la réservation des laboratoires. Cette dernière inclut désormais une vérification des certifications des utilisatrices et utilisateurs, renforçant ainsi la sécurité tout en assurant une gestion optimale de ces ressources.

Ces réalisations témoignent de notre engagement collectif à faire de l’École des sciences de la nutrition un lieu d’excellence, de collaboration et d’innovation, où chaque membre peut contribuer pleinement au rayonnement de notre mission.

L’École des sciences de la réadaptation a connu une autre année enrichissante. L’amélioration continue de nos programmes d’études a permis de favoriser la réussite étudiante. Des innovations récentes continueront de rehausser l’accessibilité de nos programmes et d’augmenter la diversité de nos cohortes étudiantes. 

Le programme d’audiologie et d’orthophonie a vu son agrément renouvelé pour quatre ans par le Conseil d’agrément des programmes universitaires canadiens en audiologie et en orthophonie (CAPUC-AO). Dans son rapport détaillé, le Conseil a fait l’éloge du programme pour l’enthousiasme et l’implication des professeures et professeurs et du personnel, les excellentes relations entre le corps professoral et la communauté étudiante, la grande qualité de la formation clinique ainsi que l’environnement d’apprentissage exceptionnel.

Dans le programme de physiothérapie, les efforts pour maintenir la plus haute qualité d’enseignement ont abouti à une réalisation remarquable : l’ensemble de nos finissantes et finissants ont réussi l’Examen de compétence en physiothérapie à leur premier essai. 

Du côté de l’ergothérapie, la mise en place d’un nouveau programme novateur à temps partiel a été approuvée. Il s’agit du premier programme au Canada offrant la possibilité d’étudier à temps partiel pour devenir ergothérapeute. D’une durée de quatre ans, il accueillera sa première cohorte en septembre 2026. Sa structure améliorera l’accès à l’éducation en ergothérapie et augmentera la diversité de sa communauté étudiante. 

Le programme doctoral en sciences de la réadaptation a reçu le feu vert pour mettre en place des programmes à distance en français et en anglais. Ceux-ci accueilleront leurs premières cohortes en septembre 2025, améliorant ainsi l’accès pour les étudiantes et étudiants qui souhaitent développer des compétences de haut niveau dans la recherche interprofessionnelle en réadaptation.